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Source Photo: ville de Toulouse 

Maxime Boyer

Adjoint au Maire en charge des relations avec l’enseignement supérieur

Adjoint au Maire en charge de la circulation et du stationnement, du tisséo et des cheminements piétons

Mairie de Toulouse

Vice-Président de Toulouse Métropole

Une équipe d'excepetion pour TOULOUSE

une ville qui inspire les générations du 21e siècle

 

 

Toulouse, Prix d'Excellence du Sommet europeen à Paris des élites scientifiques de la diaspora francaise, européenne et internationale edition 2025

Interview sélectionnée pour l'edition Visionnaires du 21e siecle édition 2025

www.interviewfrancophone.net

par Ingrid Vaileanu et Dr. Florin Paun 

Interview Francophone: Quel est votre diagnostic sur le rôle de la ville de Toulouse pour soutenir l'éducation des élites de la diaspora européenne et internationale notamment dans les sciences pour soutenir la croissance et la souveraineté européenne et la collaboration internationale ?

 

Maxime Boyer: Tout d’abord, Toulouse est un pôle d’excellence académique de 1e plan, 1e ville étudiant avec 140 000 étudiants et chercheurs encourageant la création d’un environnement riche de sa diversité. Elle se positionne aujourd’hui comme un centre important de la recherche européenne avec plus de 31 établissements d’enseignement et de recherche de plan européen (Météo France, CNRS, CEA, ….et des structures de transferts de technologies (IRT Saint Exupéry, SATT,…) 

 

L’exemple de la Toulouse School of Economics (TSE).

- Présence à Toulouse de TSE et de son Prix Nobel Jean Tirole. TSE se classe au 16eme rang mondial du Classement de Shanghai en Economie et au 1er rang français.

- Environnement international et ouvert à TSE, avec plus de 45 % d'étudiants étrangers, 30 % du corps enseignant international, et un total de 90 nationalités sur le campus.

- TSE à hébergé 30 bourses du Conseil Européen de la Recherche (ERC Grants) depuis 2007 ; soit 1/3 des ERC attribuées sur Toulouse.

 

Par ailleurs, Toulouse bénéficie d’accords de coopération et de jumelages qui favorisent l’éducation et la recherche des élites de la diaspora.

 

L’exemple du jumelage avec la ville de Kyiv​

Le jumelage avec la ville de Kyiv, dont le 50ème anniversaire a été célébré en juin 2025 a facilité une collaboration universitaire et scientifique forte entre l’Université Nationale Taras Chevtchenko de Kyiv et l’Université Paul Sabatier de Toulouse. Cette dynamique illustre l’engagement de Toulouse pour la collaboration internationale et l’ouverture aux échanges scientifiques.

 

Actions dans le cadre de la collaboration internationale entre les universités de Toulouse et de Kyiv :

Création d’un double diplôme de master entre l’Université Nationale Taras Chevtchenko de Kyiv et l’Université Paul Sabatier

Mise en place de thèses en cotutelle entre les deux pays, notamment grâce à un soutien constant de l’Ambassade de France à Kyiv (12 thèses soutenues). Le premier étudiant ukrainien qui a bénéficié de cette double supervision était issu du Département de chimie organique de l’Université Taras Chevtchenko: 

- La création du premier laboratoire international commun entre la France et l’Ukraine « GDRI en chimie moléculaire » par le CNRS en 2008, renouvelé jusqu’en 2015. Le Laboratoire commun « GDRI en chimie moléculaire » a permis à une multitude de chercheurs, qu’ils soient professeurs, étudiants, jeunes diplômés ou ingénieurs ainsi qu’au personnel administratif de participer à ces collaborations. D’un côté, à Toulouse, les structures impliquées appartiennent toutes à l’Institut de Chimie de Toulouse (ICT) et de l’autre côté à différentes Universités et Instituts Ukrainiens, dont en particulier l’Université Nationale Taras Chevtchenko de Kyiv, l’Université Nationale Karazin de Kharkiv, l’Institut de Chimie Organique de Kyiv, l’Institut des Monocristaux de Kharkiv et l’Institut de chimie physique et organique de Donetsk, qui sont membres de l’Académie Nationale des Sciences d’Ukraine (NASU).

- La nomination au grade de Docteur Honoris Causa de plusieurs chercheurs et enseignants-chercheurs de l’UT dans des universités ukrainiennes, et inversement la nomination d’une Professeure ukrainienne Zoia Voitenko au grade de Docteur Honoris Causa de l’UT (2022).

La mairie de Toulouse et la mairie de Kyiv apportent par ailleurs leur soutien au projet de de Maison Universitaire France-Ukraine, nommé MRIYA. Ce projet vise à mieux coordonner les échanges scientifiques et académiques entre les deux pays. Toulouse, liée historiquement à Kyiv, est un lieu stratégique pour ce projet.

 

L’enseignement supérieur, les échanges d’étudiants, apparaissent également souvent dans les accords de coopération signés par la ville et la métropole de Toulouse avec leurs homologues dans le monde. Par exemple, cette thématique figure dans le nouvel accord de coopération qui a été signé le 11 juillet 2025 avec la ville de Casablanca, ou encore avec Montréal, dans le cadre du fonds Franco- Québécois (2022-2023), autour des écosystèmes de l’Aero-numérique.

 

La Métropole soutient aussi l’enseignement et la recherche dans le cadre du Contrat de Plan Etat Région (CPER). Ce contrat précise la participation financière de la Métropole sur deux axes principaux :

L’action “Filières d’avenir et Excellence universitaire et de recherche”, qui intègre des projets d’équipements scientifiques et immobiliers, avec une participation prévue de Toulouse Métropole de 31.646 M€,

L’action “Favoriser l’accès à l’enseignement” qui intègre des projets relatifs au logement social étudiant, avec une participation prévue de Toulouse Métropole de 0.36 M€.

 

 

Interview Francophone: Quel est le rôle d'une ville comme Toulouse pour réussir à soutenir des innovations et répondre à des enjeux du 21ème siècle ? 

 

 

Maxime Boyer: Dans le cadre de sa feuille de route Développement Economique « Ambition 2026 » Toulouse Métropole soutient les innovations du territoire :

- En soutenant les interactions entre l’écosystème de l’enseignement supérieur, de la recherche et le monde économique, en favorisant le transfert de technologies

- En développant des outils et partenariats innovants pour soutenir toujours plus efficacement les entreprises sur le territoire

 

Plus directement, Toulouse Métropole impulse une dynamique à travers :

- la structuration de campus économique sur les filières d’excellence du territoire (aéro, santé, numérique, mobilités, alimentation).

- le soutien aux clusters et pôles de compétitivités sur nos filières stratégiques prioritaires

- l’accueil privilégié de jeunes entreprises et start-up innovantes au sein de pépinières d’entreprises, soit près de 100 entreprises localisées sur près de 20 000 m2 

- le B612 : centre d’innovation dédié à l’aéronautique et aux systèmes embarqués, accueillant des sociétés innovantes de rand international - le partenariat avec des structures d’interface Recherche/industrie et de transfert de technologies : la Société d’Accélération du Transfert de Technologies (SATT) - Toulouse Tech Transfer, qui a mis en place des dispositifs visent à favoriser l’émergence et l’accompagnement de startups « Deeptech » (c’est-à-dire  combinant des technologies innovantes) sur le territoire de l’Académie de Toulouse (Occitanie Ouest) dans les domaines de La santé : biotechnologies, environnement du soin, bien-être, pharmaceutique ; « green tech » : agroalimentaire/agriculture, alimentation, eau/environnement/énergie, biomasse L’institut de recherche technologique IRT St Exupéry implanté au sein du B612 sur plus de 10 000m de plateformes technologiques et de bureaux, qui, avec ses membres industriels et académiques, se positionne sur des thématiques d’excellence tel que l’IA embarquée, les matériaux à très valeur ajoutée, les jumeaux numériques, etc.  

 

Ces dispositifs ont pour finalité de mettre en place un programme d’accompagnement coordonné, destiné aux porteurs de projet de création d’entreprises, issus ou non du monde de la recherche, et aux start-ups en cours de création ou déjà créées, disposant d’un projet innovant « Deeptech ».

 

Elle peut également accompagner le développement de projets innovants en soutenant les expérimentations (= projet entre 1 startup et 1 service pilote TM) ou de démonstrateurs (= projet entre 1 startup ou société plus mature + 1 service TM + 1 acteur académique).

 

Avec le soutien des programmes européens tels qu'Horizon Europe et Interreg Europe, Toulouse Métropole s’engage activement au sein des écosystèmes européens d’innovation, en collaboration avec d’autres partenaires européens (institutions publiques, entreprises, centres de recherche, clusters, etc.). Toulouse Métropole est par exemple partenaire du projet européen CRAFT - European action for social entrepreneurship support, lancé en juillet 2023 pour une durée de 3 ans, dans le cadre du programme Horizon Europe. A travers ce projet, les partenaires européens visent à mettre en commun leur expertise sur le développement de l'innovation sociale pour renforcer le soutien aux entreprises sociales en Europe, à travers la création d’une plateforme d'échange entre structures d’accompagnement de l’entreprenariat social pour y diffuser des outils d'accompagnement dédiés à l'entreprenariat social.

Le projet européen CRAFT s'intègre dans la politique métropolitaine d'accompagnement des entrepreneurs sociaux en permettant de :

Diffuser la méthodologie incarnée par le Parcours Entreprises ESS sur le modèle du partenariat public-privé

Améliorer les outils d'accompagnement du Parcours

Impliquer l'écosystème local dans la production de recommandations politiques au niveau européen

 

Elle participe aussi à deux projets stratégiques, AD ASTRA, dédié au secteur aérospatial et Health Cities, axés sur les innovations en santé.

 

Par ailleurs, Toulouse Métropole a été membre (Core partner) de l’initiative de l'Institut Européen d'Innovation et de Technologie (EIT). Il s’agit d’une agence européenne qui fédère une communauté de la connaissance et de l’innovation et qui vise à accélérer la transformation des transports urbains vers des systèmes plus durables, inclusifs et intelligents.

 

Ces initiatives rassemblent des acteurs variés qui œuvrent ensemble pour stimuler la création, le développement, la diffusion et la valorisation de l’innovation dans différents domaines économiques, scientifiques et technologiques.

 

 

Interview Francophone: Quelles sont vos plus importantes propositions et décisions pour faire évoluer les collaborations dans le domaine des évolutions des technologies au service de l'humanité ?

 

Maxime Boyer: Nous soutenons les partenariats au sein de notre écosystème d'innovation (pôles de compétitivité, clusters, SATT, incubateurs, experts, …) et la mise en relation concrète entre ces acteurs et les sociétés hébergées dans nos pépinières d'entreprises et nos 5 campus économiques d’excellence.

 

- Numérique éthique et IA

C’est en particulier le cas dans le domaine du numérique. L’écosystème numérique de Toulouse Métropole est le deuxième après Paris avec 8% des emplois totaux de la zone toulousaine, soit près de 58 000 emplois dans le numérique responsable, l’Internet des objets, le Big Data, le cloud, l’Intelligence Artificielle, la cybersécurité, etc. Toulouse Métropole participe à cette dynamique économique et accompagne le développement de la filière par l’intermédiaire de plusieurs opérateurs présents sur le territoire notamment l’Artificial and Natural Intelligence Toulouse Institute. Avec plus de 300 chercheurs, 8 programmes intégratifs, 19 chaires scientifiques et plus de 40 partenaires industriels, innovation et pédagogique, ANITI occupe une place majeure dans l’IA. Le lancement le 7 juillet 2025 du cluster IA ANITI autour de 4 ambitions (fiabilité technique, acceptabilité sociale, développement des compétences et transfert de technologie) renforce les coopérations académiques, soutient la recherche de haut niveau et positionne Toulouse comme un acteur majeur des transitions technologiques et sociétales. Les têtes de réseau associatives et acteurs structurants du numérique assurent, aux côtés de Toulouse Métropole, l’animation de l’écosystème métropolitain et des différents incubateurs ou pré-incubateurs du numérique. Les actions déployées bénéficient ainsi aux startups, petites et moyennes entreprises, grands groupes, laboratoires, établissements d’enseignement supérieur et de recherche, institutions et associations du territoire, en particulier aux sociétés hébergées dans les pépinières et les Campus de la Métropole »

 

- Mobilités et énergies innovantes et décarbonées

Là encore les mobilités décarbonées et les énergies innovantes disposent de leur propre campus économique. Ancienne base militaire, le campus Francazal et ses 38 hectares accueillent un vivier d’acteurs de l’innovation technologique : entreprises, start-up, chercheurs, étudiants, organismes privés et publics. Cet écosystème s’articule autour de trois pôles : le 1er dédié aux énergies, le 2ème aux expérimentations et le 3ème à l’industrie. Le campus Francazal bénéficie notamment d’un centre d’expérimentation de l’hydrogène et de la pile à combustible, en complémentarité avec le ban à hydrogène Hyport de la zone aéroportuaire, ainsi que pour réaliser des tests grandeur nature.

 

- Santé du futur

Avec son centre hospitalier universitaire de premier plan, son institut universitaire du cancer, son institut hospitalo-universitaire dédié aux sciences du vieillissement et ses 6 cliniques d’excellence, Toulouse est depuis longtemps une place phare de la médecine de pointe. Elle dispose également d’un campus économique entièrement dédié à la santé du futur, le “campus Oncopole”, et soutien l’écosystème notamment le pôle de compétitivité Eurobiomed qui accompagne les entreprises du secteur dans leurs projets de recherche et de développement. L’ensemble de la chaine de valeur est investi (R&D, production, médecine, soin) sur les 4 secteurs d’excellence de la filière que sont : l’oncologie, les biothérapies et la bioproduction, l’IA en santé et les gérosciences.

 

- ESS : innovation sociale et sociétale

Le secteur de l’économie sociale et solidaire connaît une croissance régulière. Avec 1 800 emplois créés sur le territoire de la Métropole depuis 2015, la filière connaît une forte dynamique et concentre au total plus de 36 000 salariés. Les services aux porteurs de projet et aux entreprises sont organisés selon deux programmes complémentaires : le Parcours Entreprises et l’animation d’un réseau d'acteurs autour d’un agenda collectif, de lieux « totems » incontournables, et de nombreuses initiatives.

Toulouse Métropole propose aux entrepreneurs un parcours complet qui correspond à chaque étape de la vie de l’entreprise. Ce dispositif s’appuie sur un Collectif composé de partenaires de l'économie sociale et solidaire et accompagne en moyenne 250 projets par an.

 

 

Interview Francophone: Quelles sont vos meilleures expériences dans vos efforts et collaborations qui apportent déjà des avancées ?

 

Maxime Boyer : Dans le domaine des mobilités :

Toulouse Métropole a soutenu en 2024 un hackathon « ECOSPRINT » organisé par la Junior-Entreprise de TSE sur les innovations dans le domaine des mobilités, en lien avec le monde académique (étudiants du territoire, appuyés par des experts d’organismes partenaires et des enseignants).

 

Les avancées des groupes d’étudiants ont permis d’alimenter la réflexion de Toulouse Métropole sur sa stratégie et ses projets en termes de mobilités.

 

Dans le domaine de l’éducation :

L’Université de Toulouse, Toulouse Métropole et la Région Occitanie ont organisé en 2024 un salon international sur la qualité des institutions d’enseignement supérieur présente sur le territoire. Il s’agit du congrès de l’European Association for International Education (EAIE).

Ce salon a représenté une occasion particulièrement intéressante de développer les collaborations existantes entre les universités européennes et favoriser l’ouverture à l’international de l’enseignement supérieur, notamment toulousain.

 

Dans une perspective internationale, en lien avec le domaine scientifique :

L’Université de Toulouse est le berceau de la coopération scientifique franco-ukrainienne. C’est là qu’elle a démarré et qu’elle est encore aujourd’hui la plus développée dans le domaine de la chimie. Le modèle toulousain a ensuite inspiré la mise en place de nombreuses autres coopérations interuniversitaires.

 

Aujourd’hui, dans un souci d’élargir et de consolider la coopération universitaire entre la France et l’Ukraine, un projet de création de Maison Universitaire France-Ukraine est en cours de réflexion. Cette maison offrira une visibilité à la recherche et aux formations universitaires ukrainiennes et françaises. Elle permettra également de maintenir leur niveau d’excellence à travers des interactions enrichissantes.

 

 

Interview Francophone: Comment impliquer toutes les parties prenantes pour la naissance des solutions avec des impacts positifs sans précédents ?

 

Maxime Boyer: Nous avons notamment développé une instance : le COPIL international, qui se réunit plusieurs fois par an et rassemble divers partenaires dans une démarche proactive de partage d’informations et d’ambitions, dans une logique de coopération territoriale et de rayonnement international.

 

Ce Copil réunit aujourd’hui : la Mairie de Toulouse, Toulouse Métropole, l’Université de Toulouse, le CHU de Toulouse, Campus France et le Rectorat de l’Académie de Toulouse.

 

Le renouvellement de cet accord en 2024 témoigne de l’efficacité de cette démarche et de la volonté commune de poursuivre une dynamique partenariale pour imaginer et mettre en œuvre des solutions innovantes.

 

Rapport Tirole​

Jean-Luc Moudenc, Président de Toulouse Métropole, Maire de Toulouse, avec l’appui de Carole Delga, Présidente de la Région Occitanie, a confié la réalisation d’une mission de prospective consacrée à l’avenir du territoire toulousain à Marion Guillou. Sous sa présidence, et avec le parrainage de Jean Tirole, Prix Nobel d’économie, une commission indépendante de douze experts a été constituée pour mener ces travaux entre le 8 juillet et le 29 septembre 2020.

 

Le travail du rapport a été mené sur un territoire large englobant l’aire urbaine de Toulouse, que la mission a appelé le « Territoire toulousain », car c’est à cette échelle que se jouent les solidarités, les mobilités liées à l’emploi et les échanges culturels et professionnels. Elles se basent sur les forces de Toulouse, incitent à tabler sur les atouts stratégiques de la ville dans le domaine de l’aéronautique, et à mettre davantage en valeur trois grands domaines : d’une part le spatial et le climat, ensuite les mobilités vertes ou « décarbonées », enfin les biotechnologies et la médecine du futur.

 

Pour répondre aux défis qui nous traversent aujourd’hui et façonneront le quotidien de ses générations futures, la commission a formulé onze propositions visant à faire de la capitale occitane un territoire plus innovant, plus durable et plus inclusif, et ainsi à lui permettre de jouer un rôle moteur dans l’avenir :

- Accroitre le rayonnement scientifique de Toulouse

- Développer une stratégie d’aménagement de Toulouse pour le climat

- Déployer un plan “climat-territoire”

- Promouvoir une agriculture climatique écoresponsable

- Conforter, transformer et diversifier l’activité industrielle toulousaine

- Simplifier l’accès des entreprises aux aides

- Faire de Toulouse une terre d’accueil des entreprises et des projets européens

- Créer des campus de formation pour l’industrie

- Stimuler l’intégration des jeunes au marché du travail

- Développer l’attractivité touristique internationale

- Miser sur la nature et la culture occitane

 

Interview Francophone: Quel est votre message pour les générations du 21ème siècle pour la confiance dans le rôle de l'effort personnel et dans une attitude française admirable de "FAIRE EQUIPE" ?

 

Maxime Boyer: Toulouse est une terre de rugby qui va de pair avec l’esprit d’équipe.

Les interrelations universitaires à l’international, mais aussi notre discipline, doivent incarner le fait de « faire équipe » en incluant tant les acteurs privés que publics.

C’est cet esprit d’équipe qui permettra à Toulouse, 3ème ville de France, d’être présente à l’échelle Européenne pour accompagner les futurs bouleversements scientifiques, technologiques et sociétaux.

 

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